Le colloque en images

Voici un lien qui vous permet de voir quelques images de ce colloque qui a rassemblé environ 300 personnes tout au long du WE, avec un pic d'affluence le samedi après-midi. L'ensemble des interventions a captivé l'auditoire par sa diversité d'approches et par les pistes ouvertes pour la réflexion. Un très bon lancement pour le chantier de la vie familiale et pour les couples présents.

Le colloque sur la mission"impossible" du couple


Ce Samedi 11 décembre à la maison cantonale de la Bastide débute le colloque avec de nombreux intervenants.
Fin du colloque dimanche 12 à l'église Notre Dame à Bordeaux.





Xavier Lacroix, père de famille, théologien à l'institut catholique de Lyon dont il fut doyen







Mme Monique Baujard, directrice du service national Famille et société de la Conférence des évêques de France et Mgr Descubes

Mgr Jean Laffitte, secrétaire du Conseil pontifical pour la famille

La famille évoquée dans le discours de clôture de l'assemblée plénière des évêques de France

"Nos travaux ont été tournés vers l'avenir, un avenir qui dépasse les deux semaines des spéculations politiciennes ; un avenir qui concerne les générations qui viennent. Les échanges sur la famille, la catéchèse et la pastorale des jeunes ont recentré notre réflexion sur les enjeux d'avenir de notre société et de notre Église. La première solidarité humaine est en effet celle qui relie les générations les unes aux autres. L'accueil des enfants, leur initiation à la vie chrétienne et leur éducation vers la vie adulte est une tâche prioritaire pour chacun à l'égard de la société de demain. C'est la mission première des familles fondées pour être le support de cette relation entre les générations et le cadre premier de l'exercice de la solidarité humaine. L'union d'un homme et d'une femme, stabilisée par un engagement définitif, est le meilleur moyen pour réussir l'éducation des enfants et des jeunes."
discours de clôture de l'Assemblée plénière des évêques de France, prononcé le 9 novembre à Lourdes par le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris et président de la Conférence des évêques de France.

Une nouveauté de la Conférence des Evêques de France

La Conférence des évêques de France a annoncé le lancement d'un blog sur la famille. « Le blog des Familles 2011 » a été lancé par le Conseil épiscopal Famille et Société. Son but : nourrir une réflexion sur les réalités et les enjeux de la famille aujourd'hui.

Journée de la pastorale des personnes handicapées

Vous trouverez ici les informations pour cette formation qui a lieu le 16 novembre.

A ne pas manquer...

L’UNION DÉPARTEMENTALE
DES ASSOCIATIONS FAMILIALES de la GIRONDE
vous invite à la conférence donnée par :
Françoise MEVEL
Psychopédagogue
« A corps et à cris »
Pour chercher à comprendre nos vies
de couples
Jeudi 7 Octobre 2010 à 20 h 30
Athénée Municipal, salle « Joseph Wresinski »
Bordeaux

Monseigneur Jacques Blaquart, nommé évêque d'Orléans nous quitte : voici son dernier éditorial...Partir



Partir ?!
Éditorial de Mgr Jacques Blaquart dans l'Aquitaine du 23 juillet 2010
Au moment d’écrire cet éditorial, je n’oublie pas que la moitié des Français ne partent jamais en vacances, faute de ressources. D’autre part, pour que certains puissent prendre un peu de repos, d’autres travaillent pour satisfaire leurs besoins. Ils ont droit à notre respect, les métiers saisonniers sont souvent précaires et éprouvants !Je pense aussi aux centaines de millions de personnes qui, à travers le monde, sont obligées de partir par contrainte, pour fuir un pays en guerre ou une situation économique dégradée. Si tant de migrants viennent frapper à la porte de notre pays, en prenant parfois des risques énormes, c’est par nécessité. Ils jouent bien souvent avec la mort pour assurer leur survie et celle de leurs familles. Si nous étions dans leur situation que ferions-nous ?Il faut entendre le témoignage des coopérants qui donnent une ou deux années de leur vie dans un autre pays, dans le cadre de la DCC, Fidesco, les MEP ou Point-Cœur. La rencontre avec d’autres cultures et des situations locales difficiles transforment le regard et la compréhension du monde.Certains – prêtres Fidei Donum et religieuses notamment – partent plus longtemps : des pays comme la Mongolie, le Brésil, le Cambodge nous sont devenus familiers grâce aux liens qui nous unissent à ces missionnaires.« Partir » évoque aussi pour nous ceux qui – prêtres et religieuses – ont reçu une nouvelle affectation dans notre diocèse. Ils quittent un lieu, s’arrachent parfois à l’affection d’une communauté pour répondre à l’appel.La Bible fourmille de ces appels de Dieu qui invitent à partir. Nous connaissons tous la Parole adressée à Abraham : « Quitte ton pays, ta famille et pars vers le pays que je t’indiquerai ! » (Gen 12) ou l’appel de Jésus à ses premiers disciples qui « laissent tout pour le suivre » (Mc 1, 18).Aujourd’hui encore, des jeunes – et des moins jeunes – vont répondre à la Parole du Seigneur en entrant au séminaire ou dans une congrégation religieuse.L’été reste propice pour des aventures limitées dans le temps mais qui peuvent être annonciatrices d’engagements pour toute une vie.Je pense en particulier à tous les camps scouts et guides, proches pour les plus jeunes ou plus lointains, par exemple au Sénégal, pour les aînés. Cette semaine, c’est la commune de Cussac Fort-Médoc qui accueille 8500 Scouts et Guides de France de quatorze à dix-sept ans, puis la semaine suivante mille « marins » des différentes associations scoutes. Notons aussi tous ceux qui marchent vers Compostelle, ou ces vingt jeunes qui, accompagnés par des séminaristes de notre diocèse, partent un mois à Calcutta pour servir auprès des plus pauvres, ou encore les sessions et pèlerinages à Paray-le-Monial, Lisieux ou Lourdes qui réunissent plusieurs milliers de personnes chaque semaine.Partir, sortir, vivre en dehors de chez soi éduque et fait grandir. Un jeune qui passe plusieurs jours loin de sa famille et dans un cadre porteur, en revient transformé.Partir pour se ressourcer est toujours possible sans aller loin : dans notre diocèse, des havres de paix et de prière, comme le Broussey, Verdelais ou l’abbaye du Rivet, accueillent pèlerins de passage et retraitants. D’autres lieux, comme le Carmel de Talence ou tout simplement les églises ouvertes, aident bien des personnes à s’arrêter et à prier.Partir est d’abord une aventure intérieure. Le témoignage des moines et moniales est éloquent. Après avoir, pour certains, voyagé dans de nombreux pays, ils ont compris qu’il leur fallait rentrer au-dedans d’eux-mêmes, à la recherche de Dieu, pour répondre à leur quête profonde.Il s’agit bien alors de « partir » vers des horizons plus cachés, vers l’Hôte intérieur qui seul peut combler les cœurs assoiffés d’infini.S’adressant à Dieu, Saint Augustin écrivait magnifiquement :« Je t’ai aimée bien tard, Beauté si ancienne et si nouvelle, Je t’ai aimée bien tard !Mais voilà : tu étais au-dedans de moi quand j’étais au dehors…Tu m’as appelé, tu m’as touché et je me suis enflammé pour obtenir la paix qui est en toi ».
+ Jacques BlaquartEvêque auxiliaire de Bordeaux
Nous regretterons beaucoup Mgr Blaquart qui était notre référent, attentif et plein de sagesse, pour la pastorale familiale, à quelques encablures de l'année qui verra se déployer un chantier diocésain sur la famille.

Un parcours pour les couples : Elle et Lui

Veuillez cliquer sur l'invitation au parcours Elle et Lui qui aura lieu à la rentrée de septembre...mais les inscriptions sont urgentes !

Homélie du cardinal lors de la veillée pour la vie


Serviteurs joyeux et convaincus de l’Evangile de la vie !

Homélie de la veillée de prière pour la Vie
Cathédrale Saint-André - Mercredi 26 mai 2010

Chers frères et sœurs,

Vivre une veillée de prière, c’est par excellence vivre un temps de contemplation, d’action de grâce et d’intercession. Notre soirée n’est pas un meeting mais une démarche devant Dieu, vers Dieu et pour Dieu. En effet, l’Evangile de la vie qui nous réunit ce soir n’est ni un programme, ni une idéologie, mais une personne, le Christ. Dans son encyclique L’Evangile de la vie le pape Jean-Paul II l’affirme clairement : « L’Evangile de la vie n’est pas une simple réflexion, même originale et profonde, sur la vie humaine ; ce n’est pas non plus seulement un commandement destiné à alerter la conscience et à susciter d’importants changements dans la société…L’Evangile de la vie est une réalité concrète et personnelle, car il consiste à annoncer la personne même de Jésus. » (n° 29).

Contemplons ce soir Jésus, le Fils bien-aimé du Père. Il nous révèle ce que nous sommes dans le dessein de Dieu. En lui, nous avons été créés, sauvés, appelés à entrer gratuitement dans la communion du Père, comme des fils et des filles bien aimés. Pour réaliser cela, Lui qui est « la Vie » (Jn 14, 6), il nous communique sa vie. « Moi je suis venu, dit Jésus, pour que les hommes aient la vie et qu’ils l’aient en abondance. » (Jn 10, 10). En Jésus nous découvrons que la vie humaine dans sa plénitude est un don de Dieu, est une expression de sa bénédiction. En Lui, nous découvrons également, que Dieu n’est pas seulement à l’origine de notre vie mais qu’il en est aussi le terme. Nous sommes faits pour la vie éternelle. C’est ce qui faisait dire à Saint Irénée : « La gloire de Dieu, c’est l’homme vivant et la vie de l’homme, c’est la vision de Dieu. » (Contre les Hérésies, IV, 20, 7). C’est ce don de la vie et cette élection par Dieu qui font que chaque être est unique, original, singulier aux yeux de Dieu. Dieu n’a-t-il pas gravé le nom de chacun sur les paumes de ses mains, selon la belle image du prophète Isaïe ? C’est cette unicité qui fonde l’éminente dignité de toute personne humaine. Jean-Paul II disait : « L’Evangile de l’amour de Dieu pour l’homme, l’Evangile de la dignité de la personne et l’Evangile de la vie sont un Evangile unique et indivisible. » (Idem, n° 2).

Dans l’évangile de la visitation que nous venons d’entendre nous voyons la rencontre de deux femmes, deux femmes enceintes. Les enfants qu’elles portent sont bien leur enfant. Pourtant l’un et l’autre sont des dons de Dieu et pas seulement parce qu’il s’agit de personnages d’exception, Jean-Baptiste et Jésus, mais parce que mystérieusement toute vie a sa source dans l’amour prévenant de Dieu. Elle requiert dès son origine l’action créatrice de Dieu.

Frères et sœurs, sachons, chacun, rendre grâce à Dieu pour le don de notre vie, pour celle de nos proches, pour celle des hommes, des femmes, des enfants qui sont nos compagnons de route. Merci, Seigneur, pour ta création, pour ton appel, pour ton amour, pour le Royaume que tu promets. Avec Marie, nous pouvons dire : « Mon âme exalte le Seigneur. Exulte mon esprit en Dieu mon Sauveur. ».

Contempler le Christ dans l’Evangile, c’est aussi découvrir sa sollicitude pour tous ceux et celles qu’il rencontre, sa tendresse pour ceux dont la vie quotidienne semble contredire cette bénédiction de Dieu attachée à la vie : les foules qui ont faim, tous ceux qui souffrent dans leur corps, dans leur esprit ou dans leur cœur, les malades, les possédés, ces exclus que sont les lépreux, les prostituées ou les publicains. Jésus a une attention particulière pour ceux qui sont faibles ou fragiles : les enfants, les veuves, les pauvres, tous ceux qui sont sans défense. Le Christ invite ses disciples à venir à sa suite, à donner visage à son amour pour tous les hommes, à être les témoins et les serviteurs de son Evangile de vie. Il nous faut « prendre soin de toute la vie et de la vie de tous. » (Idem, n°87). Il nous faut promouvoir et défendre la vie humaine dans toutes ses dimensions, sans faire une sélection dans les causes, en fonction de nos opinions politiques ou idéologiques.

Servir l’Evangile de la vie implique qu’on vienne en aide aux populations qui sont sous-alimentées, qu’on mobilise les moyens nécessaires à lutter contre les épidémies et qu’on permette à chacun de pouvoir se soigner. L’appui à un développement solidaire reste aujourd’hui d’une brûlante actualité. La dernière encyclique du pape Benoît XVI « Caritas in Veritate » l’a récemment rappelé. La mobilisation pour la vie implique un engagement résolu dans le respect de notre environnement naturel et dans la sauvegarde du monde que nous allons laisser aux générations qui viennent. Mais le service de l’Evangile de la vie implique aussi une attention à l’écologie humaine, à la façon dont l’homme traite l’être humain et en particulier dans ses formes les plus fragiles et les plus dépendantes, que ce soit la personne handicapée, l’homme ou la femme en fin de vie, ou encore l’embryon. Le pape Benoît XVI écrit : « Si le droit à la vie et à la mort naturelle n’est pas respecté, si la conception, la gestation et la naissance de l’homme sont rendues artificielles, si des embryons humains sont sacrifiés pour la recherche, la conscience commune finit par perdre le concept d’écologie humaine, et avec lui, celui d’écologie environnementale. Exiger des nouvelles générations le respect du milieu naturel devient une contradiction, quand l’éducation et les lois ne les aident pas à se respecter elles-mêmes….Les devoirs que nous avons vis-à-vis de l’environnement sont liés aux devoirs que nous avons envers la personne considérée en elle-même et dans sa relation aux autres, et le pape ajoute ces paroles très fortes : On ne peut exiger les uns et piétiner les autres. » (Caritas in Veritate, n° 51).

Servir l’Evangile de la vie nous demande de rester vigilants pour défendre les droits de la personne humaine, de tout faire pour venir en aide à la personne en fin de vie, pour aider celle qui découvre avec angoisse qu’elle est enceinte, pour se sentir solidaires de ces parents qui ont fait le choix de garder leur enfant malgré la détection d’une malformation. Nous prierons ce soir le Seigneur pour tous ceux qui sont confrontés à ces situations, pour le personnel soignant, les familles, les communautés chrétiennes, pour ceux qui dans notre pays ont la responsabilité de voter les lois touchant la bioéthique, la famille, la vie sociale et la solidarité internationale. Prions tout particulièrement pour les familles qui ont besoin d’être soutenues socialement, économiquement et culturellement dans leur vocation à être des « sanctuaires de la vie » (Jean-Paul II : l’Evangile de la vie, n°94).

Comme la Vierge Marie qui se rendait en hâte vers une ville de la montagne de Judée pour aider sa vieille cousine Elisabeth qui était enceinte, que la prière de ce soir nous mobilise et nous engage. Que le Seigneur fasse de nous les serviteurs joyeux et convaincus de l’Evangile de la vie ! Amen.

+ Jean-Pierre cardinal RICARD
Archevêque de Bordeaux

Naître ou ne pas naître ?

Conférence à l'Athénée municipal organisée par l'Alliance pour les droits de la vie, le 17 mai 2010 à 20h30 ; tract ici

Pèlerinage d'action de grâce des mères de familles

Information du journal La Croix

15/04/2010 15:30
L’enseignement catholique se dote d’un texte d’orientation sur l’éducation affective et sexuelle


Pour la première fois de son histoire, l’enseignement catholique devrait promulguer vendredi 16 avril un document consacré à l’éducation « affective, relationnelle et sexuelle ». Voté en mars par le comité national, son instance représentative, ce texte d’une cinquantaine de pages sera bientôt adressé aux établissements.

Pourquoi se doter d’un tel document d’orientation ?
Ce texte est né d’un constat, explique Claude Berruer, secrétaire général adjoint de l’enseignement catholique : « Il existe une surinformation sur la sexualité et la contraception. Et en même temps, il manque une parole adulte qui aide les jeunes à se situer vis-à-vis d’eux-mêmes et d’une relation amoureuse », indique-t-il.

À la tête du groupe de travail qui a élaboré ce texte, Claude Berruer se dit « interpellé » par un récent rapport de l’Inspection générale des affaires sociales qui met en lumière le nombre élevé de grossesses non désirées chez les jeunes filles, un phénomène qui, dit-il, « n’épargne pas une partie des établissements catholiques ».

Ce document, explique le secrétaire général adjoint, promeut une approche « décomplexée et responsable » de la sexualité. « Il ne s’agit pas de condamner, mais de montrer une voie de réconciliation possible entre le réel qu’on accueille et l’idéal dont les jeunes ont toujours soif », soutient-il.

Que contient ce texte ?
Bâti en quatre parties, il rappelle tout d’abord, en guise de repères, les enseignements de l’Église. Il identifie aussi les enjeux d’une éducation au corps, puis invite l’ensemble de la communauté éducative à se saisir de cette question.

« L’éducation affective, relationnelle et sexuelle ne peut pas être le domaine exclusif du professeur de sciences de la vie et de la terre (SVT) ou celui d’intervenants extérieurs qu’on accueille une demi-journée par an », insiste Claude Berruer.

Afin d’aider l’ensemble des enseignants, chefs d’établissement et parents d’élèves à s’engager sur cette voie, la dernière partie du document est conçue à la façon d’une « boîte à outils ». On y trouve par exemple des pistes pour choisir le « bon » manuel de SVT. On y indique aussi des adresses de sites Internet qui peuvent être recommandés aux élèves.

On y aide les équipes éducatives à sélectionner des intervenants extérieurs mais aussi à apporter une réponse à d’éventuelles situations de crise (grossesses non désirées, agressions sexuelles, etc.).

Comment s’articule ce texte avec les programmes de l’éducation nationale ?
Les établissements sous contrat sont tenus de respecter les programmes, y compris en matière d’éducation à la sexualité. Ce texte invite cependant la communauté éducative à ne pas déconnecter cette dernière du parcours plus global d’éducation à la relation (travail de socialisation, amitié, rapport à l’autre sexe, etc.) mais au contraire à l’inclure dans un projet de long terme.

« Il est essentiel d’apporter, en associant les familles, un éclairage autre que mécanique et scientifique », salue Béatrice Barraud, la présidente de l’Apel national (Association des parents d’élèves de l’enseignement libre).
Denis PEIRON

Un livre à lire : "Séparés, divorcés à cœur ouvert"

"Séparés, divorcés à cœur ouvert"
Témoignages et propositions de fidèles et de pasteurs catholiques.

Il s'agit d'un nouveau livre d'une rare force. Cet ouvrage évoque de façon spécifique des époux qui, après une séparation, ne prennent pas le chemin d’une nouvelle union. Non seulement il parle d’eux mais il leur donne la parole. Il porte une réflexion à plusieurs voix, propose des éclairages complémentaires pour penser et vivre le sacrement du mariage quand il y a rupture du couple et de la famille. Cette réflexion est prolongée par des propositions concrètes, d’ordre pastoral.

Cependant, avant toute autre considération, il a semblé nécessaire d’entendre des témoignages. Le « sujet » de ce livre, en effet, ce ne sont pas d’abord des problèmes ou des débats, ce sont des hommes, des femmes, des enfants, avec leur histoire, leur cœur blessé, leur âme vivante. Autant de richesses qu’il nous a paru opportun de partager avec tous ceux qui prennent à cœur l’amour de l’homme et de la femme et ont souci du mariage, ce « grand mystère », comme le dit l’Apôtre (Éphésiens 5,32).
Ce livre est le fruit de la collaboration du Père Alain Bandelier et de personnes ayant connu l'épreuve du divorce ou de la séparation. Mgr. Pierre d'Ornellas a écrit la préface de cet ouvrage.
Il a été publié chez Lethielleux/Parole et Silence (17€) - www.acoeurouvert.org.

Il est d'abord un hymne au mariage et à la famille. Ce livre, nous le croyons, peut aider non seulement les époux touchés par la séparation mais aussi, les couples, les prêtres et autres accompagnateurs qui ont à cœur la pastorale du mariage et de la famille.

Vincent Bigourdan de la Communion Notre Dame de l'Alliance

Conférence à propos de la loi Leonetti sur la fin de vie

Voici l'affiche d'une conférence pour faire le point cinq ans après le vote de la loi sur la fin de vie : tract ici

Rencnotre autour des personnes handicapées et malades

Le service de la pastorale des personnes handicapées organise le mardi 13 avril 2010 de 10h à 16h au centre Beaulieu une journée sur le thème : "Les personnes malades et handicapées dans l'Eglise"
Renseignements sur le tract ci-joint

Lève-toi et marche

Une récollection est proposée par la Communion Notre-Dame de l'Alliance les 1 / 2 mai 2010 sur le thème : Lève-toi et marche. Elle sera animée par Monseigneur Jacques Blaquart.

Elle aura lieu du samedi à 14 h au dimanche à 16 h au Foyer de charité de Notre-Dame de Lacépède.

La Communion Notre-Dame de l'Alliance réunit des hommes et des femmes engagés dans un mariage sacramentel et vivant seuls à la suite d'une séparation ou d'un divorce. Dans la foi au Christ, ils suivent un chemin de fidélité, de pardon et d'espérance en se soutenant mutuellement.

Renseignements : M.M. SUREAU tel 06 21 04 43 43

SESSION D’ANIMATEURS Teen STAR

A LIBOURNE

Du mercredi 12 mai au dimanche 16 mai 2010

Horaires : mercredi, jeudi, vendredi de 9h à 17h30, samedi 9h à 19h, dimanche 9h à 13h.

Programme d’éducation affective et sexuelle pour les adolescents et les jeunes adultes,

proposé par le CEPP (Centre d’Education Pluridisciplinaire de la Personnalité)

Programme TeenSTAR du Dr Hanna Klaus.

La formation consiste à

- Donner des outils, du vocabulaire, de l’aisance pour faire réfléchir les adolescents sur eux-mêmes, leurs désirs profonds, leurs comportements, le sens de la sexualité, la valeur d’un choix responsable.

-Donner des éléments pour une pédagogie interactive favorisant chez les jeunes un émerveillement devant la beauté de la vie et le goût d’un amour de qualité.

La formation s’adresse aux Enseignants, aumôniers de jeunes, parents, médecins, infirmières et autres responsables, souhaitant aider les jeunes à vivre une sexualité responsable,

Coût : (il ne doit pas être un obstacle à l’inscription) : 200€ par personne, 230€ pour un couple

Contact : Astrid de Pontbriand tel : 09 52 46 65 86 7a2p@free.fr

Odile Ducros tel : 05 56 24 26 68 odducros@free.fr

WE organisé par la communauté Fondacio

la communauté Fondacio organise une session « Famille été » pour les couples du 1er au 7 août 2010
Lieu : Le Temple sur Lot entre Toulouse et Bordeaux

Renseignements sur le flyer


Invitation à un goûter découverte Dimanche 21 mars à 16h

au centre Nazareth, 212 r. de Pessac, à Bordeaux, de 16h à 18 h inscriptions ici


Communiqué de presse du CLER

Le 18 février 2010





Communiqué de presse



Le CLER Amour et Famille invite à une forte mobilisation pour l’éducation affective, relationnelle et sexuelle basée sur l’anthropologie chrétienne



L’éducation affective, relationnelle et sexuelle fait son buzz…. Martin Hirsch propose qu’elle soit l’une des offres de service proposées pour le service civique volontaire en préparation ; le Secrétariat Général de l’Enseignement Catholique, dans la foulée de la convention qu’il a signé avec le CLER, prépare un document de référence sur ce sujet ; le film « Le baiser de la lune » fait polémique ; le rapport de l’IGAS sur l’avortement fait pointer du doigt par Roselyne BACHELOT la carence éducative et enfin Benoît XVI répète mois après mois avec une insistance croissante la nécessité de former des éducateurs à l’affectivité et à la sexualité.



Depuis 1970, le CLER forme des « éducateurs à la vie », en conformité avec les dispositions prévues par l’arrêté du 23 mars 1993 (160 heures) et a pu développer ses interventions en milieu scolaire. Aujourd’hui, le CLER Amour et Famille rencontre plus de 150 000 jeunes par an.



Face aux enjeux de société que représentent aujourd’hui les difficultés des familles dans leur rôle de premier lieu d’intégration sociale, l’éducation affective, relationnelle et sexuelle peut contribuer au développement de la personne humaine, à condition cependant que comme le rappelle Benoit XVI dans CARITAS IN VERITATE, que cette activité prenne le jeune dans la globalité de sa personne.



Face à ces nouveaux besoins, le CLER a décidé d’une part de mobiliser son énergie pour recruter, d’autre part de proposer ses formations à tous (particuliers ou organismes) qui souhaitent agir sur le terrain dans le cadre qu’ils choisiront.



Tous n’ont pas vocation à devenir Educateur à la Vie, aussi d’autres propositions de formation sont faites :

Ø Accompagnement en Education Affective Relationnelle et Sexuelle (50 heures) : aider les éducateurs, les enseignants, les catéchistes ou animateurs d’aumônerie à être plus à l’aise avec les adolescents sur les questions d’affectivité et de sexualité.

Ø Stage « Comment parler de sexualité avec les jeunes » (14 heures): aider les personnes en responsabilité de jeunes à se positionner eux-mêmes en adultes face aux adolescents, à mieux connaître les problématiques de ces derniers et à être plus à l’aise pour échanger avec eux sur les questions d’affectivité et de sexualité.
Ø Prévention des addictions et des conduites à risque en primaire (4WE, en préparation) : animation d’un parcours de prévention en CM1 et CM2

Le Président du CLER Amour et Famille, Jean-Eudes Tesson déclare «Le CLER insiste sur l’urgence d’une mobilisation, pour ne pas laisser la place sur le terrain à des associations dont les motivations sont des revendications identitaires et non pas le souci du bien des enfants » L’association invite tous ceux qui partagent cette préoccupation à se mobiliser et à mieux collaborer. Le CLER salue les efforts du Secrétariat Général de l’Enseignement Catholique pour y contribuer et se met au service de tous ceux qui veulent inscrire l’éducation affective, relationnelle et sexuelle dans une démarche nourrie de l’anthropologie chrétienne, même dans le cadre d’une expression aconfessionnelle.

Le CLER Amour et famille, association loi 1901, reconnue d’utilité publique, œuvre pour l’épanouissement relationnel, affectif et familial de toute personne, jeune ou adulte, en couple ou non. Organisme de formation reconnu par les pouvoirs publics, pour le Conseil Conjugal et Familial et l'Education à la vie, il propose son expérience, son expertise et ses compétences à tous ceux qui agissent auprès des familles. Il se veut vecteur d’une vision positive de l’homme : respect de soi et des autres, accueil, solidarité qui le conduit entre autres à s’investir dans la recherche de l’amélioration de la communication interpersonnelle. www.cler.net

Contact presse CLER : Véronique Riquier veronique.riquier@cler.net
01 48 74 87 60 – 06 50 20 06 10