La loi nouvelle de Dieu inscrite dans le coeur de l'homme rend l'homme capable d'accomplir la loi d'amour de Dieu et ne saurait s'opposer au plan divin qui créa l'homme et la femme, image de Dieu, dans leur complémentarité d'homme et de femme, dans leur différence sexuelle.
Donc bien triste est cette loi nouvelle de l'homme sur le mariage, qui, sous prétexte d'égalité entre les citoyens, change la nature du mariage, et s'oppose à la loi de Dieu, toujours valable puisque Jésus l'a rappelé et qu'il pourrait commenter aujourd'hui cette loi française : au commencement il n'en était pas ainsi...
Il n'y a ici aucun propos homophobe, mais comme l'écrivait notre Cardinal, Monseigneur Ricard, non le mariage n'est pas pour tous ! Cette loi promulguée par des hommes perturbe gravement les repères humains fondamentaux et menace l'avenir humain des enfants de toutes les familles : la mobilisation ne doit pas s'arrêter là. Cette loi est réversible, comme toutes les lois humaines : à nous d'en être les acteurs dans notre société. P.Pierre Protot, responsable de la pastorale familiale
Communiqué de la manif pour tous :
Conseil Constitutionnel : une occasion ratée de s’inscrire dans la tradition du pays des Droits de l’Homme
Pour Tugdual Derville, Délégué général d’Alliance VITA et porte-parole de La Manif pour Tous :
« Le Conseil Constitutionnel a raté une occasion de faire justice. En France, pays des Droits de l’homme, c’est le peuple qui se rebelle quand ses dirigeants abusent de leur puissance. La validation totale de la loi Taubira renforce donc notre détermination à lutter contre une loi démocratiquement votée, jugée constitutionnelle, mais qui blesse les fondements de la démocratie en portant atteinte au droit des plus fragiles, les enfants.
Certes le Conseil Constitutionnel prend soin de souligner que la procédure d’adoption par deux personnes de même sexe, dont il valide le principe, doit respecter « l’exigence de conformité de l’adoption à l’intérêt de l’enfant ». C’est une circonvolution : les « Sages » ont-ils voulu se laver les mains de cette question controversée ? Peu importe qu’ils aient pris une décision politique ou juridique, elle ouvre la voie à l’injustice et nous mobilise plus que jamais.
C’est dans la rue, le dimanche 26 mai 2013, jour symbolique de la fête des mères que nous manifesterons pour affirmer les repères de la filiation et pour que la société donne la priorité aux plus fragiles.
Nous continuerons de lutter contre une loi qui divise profondément les Français. Nous sommes surtout prêts à nous remobiliser de plus en plus nombreux contre l’idéologie du genre qui efface les repères de l’engendrement et pour changer l’ordre des priorités afin que l’intérêt de l’enfant soit concrètement prioritaire face aux désirs des adultes. »
« Le Conseil Constitutionnel a raté une occasion de faire justice. En France, pays des Droits de l’homme, c’est le peuple qui se rebelle quand ses dirigeants abusent de leur puissance. La validation totale de la loi Taubira renforce donc notre détermination à lutter contre une loi démocratiquement votée, jugée constitutionnelle, mais qui blesse les fondements de la démocratie en portant atteinte au droit des plus fragiles, les enfants.
Certes le Conseil Constitutionnel prend soin de souligner que la procédure d’adoption par deux personnes de même sexe, dont il valide le principe, doit respecter « l’exigence de conformité de l’adoption à l’intérêt de l’enfant ». C’est une circonvolution : les « Sages » ont-ils voulu se laver les mains de cette question controversée ? Peu importe qu’ils aient pris une décision politique ou juridique, elle ouvre la voie à l’injustice et nous mobilise plus que jamais.
C’est dans la rue, le dimanche 26 mai 2013, jour symbolique de la fête des mères que nous manifesterons pour affirmer les repères de la filiation et pour que la société donne la priorité aux plus fragiles.
Nous continuerons de lutter contre une loi qui divise profondément les Français. Nous sommes surtout prêts à nous remobiliser de plus en plus nombreux contre l’idéologie du genre qui efface les repères de l’engendrement et pour changer l’ordre des priorités afin que l’intérêt de l’enfant soit concrètement prioritaire face aux désirs des adultes. »